
Le leasing social a remporté le succès escompté. Lancée au début du mois de janvier, l’aide gouvernementale vise à démocratiser l’accès aux véhicules électriques. Stellantis s’est montré favorable à la mesure et prévoyait 20 000 commandes ( en France) .
Déjà 20 000 commandes de véhicules électriques du groupe Stellantis (En France)
Les concessions ont été submergées par une vague de nouveaux clients. Nombreux sont les Français à vouloir leur voiture électrique à moins de 100 €/mois. Stellantis proposait de nombreux véhicules :
- Citroën ë-C3 à partir de 54 €/mois
- Fiat 500e à partir de 49 €/mois
- Opel Corsa à partir de 94 €/mois
- Peugeot E-208 à partir de 99 €/mois
- Citroën ë-C4 à partir de 129 €/mois
- Fiat 600e La Prima, à partir de 149 €/mois
- Jeep Avenger à partir de 149 €/mois
- Opel Mokka à partir de 119 €/mois
- Peugeot E-2008 à partir de 149 €/mois

Une offre étendue qui a séduit les consommateurs permettant d’avoir accès à un véhicule électrique neuf sans apport pour un budget réduit.
La Fiat 500e et la Peugeot E-208 plébiscitées
Parmi les véhicules les plus demandés, on remarque les Fiat 500e et Peugeot E-208. Les deux citadines sont alors celles qui ont su séduire les automobilistes modestes. Mais avec ses 362 km d’autonomie, c’est la Peugeot E-208 qui convient le mieux aux profils des gros rouleurs ciblés en priorité par cette aide de l’Etat.

Le leasing social, la bonne affaire pour Stellantis ?
Alors Stellantis a-t-il profité du leasing social pour augmenter ses ventes ? C’est une éventualité à considérer et il faut avouer que le leasing social peut en théorie satisfaire tout le monde. L’acheteur obtient une voiture à un prix défiant toute concurrence tandis que le constructeur vend une voiture plein pot. Il s’agit d’une affaire gagnant-gagnant, sauf pour l’Etat qui finance la voiture à hauteur de 13 000 €